Ils étaient notés ces sablés, comme souvent sur un papier volant dans la rubrique "to do". Mais, j'ai attendu un peu et du coup je ne sais même plus d'où ils viennent excatement !

La présence de fleur de sel dans le sablé me ferait pencher pour Philippe Conticini mais, je n'ai pas retrouvé ça dans mes autres archives ! Ah, si un jour je suis vraiment organisée, je vous le dirai.

C'était bon et, très, très chocolat. Mais, pour moi qui finalement ne suis pas si chocolat que ça (je sais que c'est bizarre !), j'ai surtout apprécié celui que j'ai mangé en buvant mon café d'autant qu'il était encore tiède.

Si vous n'êtes pas des goinfres et des "chocolavores" absolus, divisez les proportions par deux et mangez-les le jour même. 

Je pense aussi que j'aurais sans doute du mettre des pépites de chocolat au lait (un bon, pas trop sucré) plutôt qu'au chocolat noir... outre le goût plus doux, cela aurait été plus joli lorsqu'on les coupe en deux.

Bien sûr, vous pouvez tout faire manuellement ou presque, j'avoue que pour ma part, j'ai tout mis dans le bol de mon robot !

SABLÉS TENDRES AUX NOISETTES ET CHOCOLAT

À  la main :

• Commencer par crémer le beurre et le sucre glace, puis incorporer tous les ingrédients en travaillant rapidement, terminer par les pistoles de chocolat.

Au robot :

• Mettre tous les ingrédients dans le bol du robot (sauf les pistoles) et pétrir jusqu'à l'obtention d'une pâte assez homogène. Ajouter le chocolat et pétrir à nouveau jusqu'à ce que l'appareil forme une boule.

Finition (dans les 2 cas) :

• Préchauffer le four à 170°.
• Abaisser la pâte à 2centimètres environ et découper à l'aide d'un emporte-pièce.
• Poser sur une plaque allant au four et cuire environ 15 minutes (comme pour les cookies, c'est cuit quand ça n'a pas l'air cuit) et laisser refroidir complètement avant de les  poser sur une assiette.

En refroidissant, les sablés peu cuits deviendront manipulables (comme pour les cookies, c'est cuit quand ça n'a pas l'air cuit) mais ils resteront tendres à l'intérieur.