Ormeau pour un lundi de pâques
Il gèle ce matin et ce n'est pas une blague de premier avril!
J'espère que vous avez passé un beau dimanche de Pâques?
Pour notre part, il a été calme avec un belle promenade ensoleillé et tout de même un bien belle assiette que je me contente de vous montrer ce matin.
Je n'ai pas eu le temps le courage de la rédiger hier et comme c'était un plat un peu exceptionnel, vous aurez plus de temps dès demain pour y penser et peut-être le faire un prochain dimanche.
C'était la fête des ormeaux chez moi et nous nous sommes régalés.
C'est la première fois que je cuisinais des ormeaux et j'ai choisi l'option cuisson très courte, pour ce qui est des asperges et des morilles, je vous propose aujourd'hui ces deux (clic) recettes (re-clic) bien de saison.
La coquille (il n'y en a qu'une) de ce mollusque est étonnante et vraiment très belle. Son intérieur nacré percé de quelques trous est un cadeau de la nature quand à ce qui se mange, il fait partie de ces choses qu'il faut avoir goûté une fois dans sa vie.
Faisant partie des haliotis, voilà ce que wikipédia dit :
"Le genre Haliotis regroupe de nombreuses espèces de mollusques marins à coquille unique, qu'on trouve dans les eaux peu profondes du littoral. Ils vivent dans les eaux froides à tempérées et subtropicales des hémisphères Nord et Sud. On les nomme habituellement ormeau ou oreille de mer, et, depuis la vulgarisation de la cuisine chinoise, « abalone » (qui est en fait la dénomination anglaise).
L'ormeau est traditionnellement capturé pour consommation en Australie, aux États-Unis, au Mexique et dans la région indo-Pacifique, mais aussi en Bretagne. Il est exporté aux États-Unis et au Japon".
J'avais donc fait une assiette bien de saison avec ormeaux, morilles et asperges vertes que nous avons dégusté avec un remarquable champagne de Benoît Tarlant : Cuvée Louis, ample en bouche avec des notes un peu beurrées et un léger goût de grillé, il a fait merveille avec merveille avec mon plat.
La recette demain, promis.